Maintenant, place aux photos. D'abord, la photo du départ, prise dans le hall de notre immeuble:
Au moment de la photo, tout le monde n'était pas encore présent; en tous, sur les 120 employés de Cardif Japon, une petite quarantaine a participé.En chemin:
Le rassemblement devant la gare, avec nos belles banderoles fournies par la ville:
Et les discours qui ont précédé l'opération de nettoyage, par le maire de Tokyo, le maire de Shibuya et d'autres députés ou personalités:
Bon, c'est parti, mais dès le début, il faut bien constater qu'il n'y a pas grand chose à ramasser, alors on se fait quelques blagues:
Si, en fait il suffit de trouver les bons coins, et d'y être le premier:
Quand on ne trouve pas autrement, on peut aussi creuser pour atteindre les tréfonds de la terre...
Autre technique gagnante mise en place par mon chef actuaire (Oshima-san ci-dessous, avec une collègue de la com'): se mettre aux abords des combinis dont les poubelles sont pleines et faire le tour des dites poubelles.
De mon côté, j'ai décidé de me spécialiser dans le petit rebus: épingles, cure dents, trombones, barrettes, etc. Le problème, c'est que c'est difficile à ramasser, et que ça ne prend pas beaucoup de place dans le sachet en plastique symbole de notre travail de nettoyage...
Re-voici Pierre, le second VIE de Cardif Japon; vous avez dû l'apercevoir dans d'autres récits (Mais où est Charlie...dans mon blog):
Au contraire de moi, certains ont réussi à remplir leur sac en plastique !
Après l'effort, le réconfort: en échange de notre sac en plastique de déchets, nous avons reçu un pot de fleurs, de l'eau et de la confiture (belle métaphore: faire attention à la nature nous permet d'en recevoir les cadeaux). Dernière photo souvenir:
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